A raw, honest, and powerful performance by Marion Cotillard together with the broodingly handsome and charismatic Matthias Schoenaerts makes this an engaging little art house flick by Jacques Audiard. The 2 stars have a palpable chemistry that makes that characters believable and arresting. 2 strangely co-dependent damaged/handicapped souls, one physical and one emotional, coming together, supporting each other and discovering that only by letting go of the tethers of shame and pride can they appreciate what life has so much more to offer and give. Sounds cliche, and it could jolly well have devolved into that, but Audiard's directing, couple with the strong committed performance of the two leads, changed this from a conventional love story to one that is complex in its simplicity. Cotillard gives her strongest performance yet since "Le Mome" and is a strong contender for a Best Actress Oscar nomination. She is at her best in her native French movies rather than the big, glitzy Hollywood blockbusters. Her portrayal was nuanced, honest and raw, and although it lacked the dramatics of being Edith Piaf it was nonetheless captivating with the emotions playing across her face without the emotional grandstanding. Schoenaert's exuded masculinity and yet beneath that macho bravado we can glimpse the emotional vulnerability of a lost man. Audiard's directing had a lot of repeating motifs and themes on limbs and life; he also liked to bathe his characters alternatively in sunlight and shadows. I felt that the last third was a bit too truncated and too rush, although it has the most emotionally-baiting scene which works because of Schoenaerts and Alexandre Desplat's score. Speaking of which, the very prolific Desplat has composed a very suitable score that permeates throughout and enriches the scenes, especially those wordless ones.
<en français par Google Translate> Une performance brute, honnête et puissant par Marion Cotillard avec le broodingly beau et charismatique Matthias Schoenaerts en fait un film engageante petite maison d'art de Jacques Audiard. Les 2 étoiles ont une chimie palpable qui fait que les personnages crédibles et saisissant. 2 étrangement co-dépendantes âmes endommagées / handicapés, l'un physique et émotionnelle, se rassembler, se soutenant mutuellement et découvrir que c'est seulement par lâcher les amarres de la honte et la fierté peuvent-ils apprécier ce que la vie a tellement plus à offrir et donner. Sonne cliché, et il pourrait joliment ont dégénéré en cela, mais mise en scène Audiard, en couple avec la forte performance commis des deux fils, a changé ce à partir d'une histoire d'amour classique à celui qui est complexe dans sa simplicité. Cotillard donne sa meilleure performance depuis encore "Le Môme" et est un candidat sérieux pour une nomination meilleure actrice aux Oscars. Elle est à son meilleur dans son pays natal films français plutôt que les grandes superproductions d'Hollywood célébrités. Son interprétation a été nuancée, honnête et de matières premières, et même si elle n'avait pas les dramaturgie d'être Edith Piaf, il a été néanmoins captivant avec les émotions qui jouent sur son visage sans la démagogie émotionnelle. Schoenaert de la masculinité et respirait encore sous cette bravade macho nous pouvons entrevoir la vulnérabilité émotionnelle d'un homme perdu. Mise en scène Audiard a eu beaucoup de répétition des motifs et des thèmes sur les membres et de la vie, il aimait aussi se baigner ses personnages alternativement dans la lumière du soleil et les ombres. J'ai senti que le dernier tiers était un peu trop tronquée et trop se précipiter, même si elle a la scène la plus émotionnellement piège qui fonctionne grâce à Schoenaerts et le score d'Alexandre Desplat. En parlant de cela, le très prolifique Desplat a composé un score très convenable qui se répand dans tout et enrichit les scènes, en particulier ceux ceux sans paroles.
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